Publié le 20/03/2024 2 minutes de lecture
Afin de lever les freins techniques au développement du vrac, industriels, distributeurs et apporteurs de solutions ont défini des standards bientôt testés en magasin.
Le vrac séduit les plus de 50 ans et les classes aisées. Ici : rayon vrac du Carrefour de Montesson.
Réunis au sein du collectif En avant vrac, le Perifem, l’Ilec et le Pacte National sur les Emballages Plastiques, se sont mis autour de la table pour définir des standards techniques pour lever les freins de cette consommation sans emballage, et gagner en performance en point de vente et relancer la croissance de marché fortement ébranlé par la crise du Covid, puis par la flambée des prix. « Les consommateurs veulent être rassuré sur la qualité des produits vendus en vrac, mais aussi sur leur origine, et leur prix« , résume d’ailleurs Gaëlle Le Floch, de Kantar. Face aux exigences réglementaires (20 % de ventes en vrac en 2030), le modèle doit se réinventer.
Identification des emballages même domestiques
Les participants aux groupes de travail se sont aussi mis d’accord sur un standard d’identification des contenants vrac réemployables, qu’ils soient fournis par le point de vente et l’industriel, ou bien ramenés par le consommateur. Un code numérique selon un standard proposé par GS1 pourra être apposé sur les emballages, renseignant sur le tarage et l’éventuelle compatibilité ou non avec certains produits, et rendant possible le comptage des actes d’achat par type de contenant (sachet kraft, emballages vendus ou emballages domestiques).
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