Un laboratoire grandeur nature pour adapter la ville au changement climatique
Publié le 30/10/2024 5 minutes de lecture
En 2050, un grand nombre de prévisionnistes météo s’accordent pour annoncer l’arrivée, sur Lyon, du climat qui règne à Madrid. En testant plusieurs solutions de végétalisation, notamment sur la pointe de la Confluence, la biodiversité reprend ses droits et la ville devient plus respirable. L’aménagement d’une friche est élaboré grâce à des innovations visant l’adaptation au changement climatique en économisant les ressources naturelles.
Partager :
À lire aussi :
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Lyon généralise la récupération de chaleur fatale de ses chaufferies
En installant des équipements permettant de capter la chaleur fatale des fumées des chaudières biomasse, la métropole de Lyon entend multiplier ses ressources pour augmenter le nombre de bénéficiaires du chauffage urbain en protégeant la qualité de l’air.
par r Françoise Sigot – Club Techni.Cités
Fin du thermique en 2035 : En rupture avec l’Allemagne, la France aligne sa position avec celle de l’Europe
À l’heure où la future interdiction de commercialisation des véhicules neufs thermiques à l’horizon 2035 au sein de l’Union européenne est remise en cause par les constructeurs automobiles mais aussi, et surtout, par les pays dont l’économie dépend fortement de l’industrie automobile, la France s’aligne à la décision européenne.
par Antonin Moriscot – Auto Infos
[Lyon (métropole de Lyon) 522 300 hab.] Jadis très minérale, la pointe de la Confluence, un bout de terre de six hectares entre la Saône et le Rhône, se transforme peu à peu en forêt urbaine. L’installation de plus d’un millier d’arbres et de multiples arbustes permet d’y tester plusieurs solutions de végétalisation. « Ce que nous faisons ici, sur le quartier du Champ, servira à trouver des process et des recettes à appliquer ailleurs », résume Samuel Linzau, directeur général de Lyon Confluence, l’aménageur du quartier.
Une réponse possible aux enjeux du réchauffement climatique, abordée sous plusieurs angles : de la désimperméabilisation à la fabrication de terres fertiles et à l’installation d’espèces végétales capables de résister aux aléas du climat. Il ne s’agit pas seulement de prendre en compte la chaleur estivale, mais aussi de composer avec des vents de plus en plus violents et, probablement, des pluies plus fortes et plus espacées. Sans compter l’urbanisation, car au-delà du Champ et de ses six hectares végétalisés, le quartier de 150 hectares en mutation abritera, demain, environ 17 000 habitants et plus encore de salariés.
Pour fonder leurs actions, les acteurs du renouvellement urbain de la Confluence explorent principalement trois axes. « Nous sommes sur une sorte de laboratoire urbain à grande échelle, où nous travaillons sur la fabrication de sols fertiles, la gestion de la ressource en eau et la réintroduction de la biodiversité, explique la cheffe de projet de la SPL Lyon Confluence, Marie-Paule Coassy. Ce sont un temps long et des processus compliqués. »
Le chantier a débuté en 2015, avec un constat : plus de 50 000 mètres cubes de terres fertiles sont nécessaires pour ramener de la vie sur ce site. Et une ambition : plutôt que de multiplier les rotations de camions, une bonne partie de cette terre sera fabriquée sur place.
Vers de terre et insectes
Trois formules sont expérimentées avec, pour matière première commune, le limon, des déchets de terrassement. Mélangés avec du compost suivant des dosages différents, ces limons maturent durant douze à dix-huit mois sous forme de monticules, en laissant les végétaux, les vers de terre et les insectes se réinstaller et enrichir la terre.
Partager :
À lire aussi :
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Lyon généralise la récupération de chaleur fatale de ses chaufferies
En installant des équipements permettant de capter la chaleur fatale des fumées des chaudières biomasse, la métropole de Lyon entend multiplier ses ressources pour augmenter le nombre de bénéficiaires du chauffage urbain en protégeant la qualité de l’air.
par r Françoise Sigot – Club Techni.Cités
Fin du thermique en 2035 : En rupture avec l’Allemagne, la France aligne sa position avec celle de l’Europe
À l’heure où la future interdiction de commercialisation des véhicules neufs thermiques à l’horizon 2035 au sein de l’Union européenne est remise en cause par les constructeurs automobiles mais aussi, et surtout, par les pays dont l’économie dépend fortement de l’industrie automobile, la France s’aligne à la décision européenne.
par Antonin Moriscot – Auto Infos
Le ministre de l’économie veut porter le bonus écologique à 5700 € en 2026
Au micro de France Inter mercredi, le ministre de l’Économie et des Finances, Roland Lescure, annonce que le bonus écologique sur les voitures électriques sera maintenu et même augmenté jusqu’à 5.700 euros en 2026 (contre 3.100 à 4.200 aujourd’hui)
par Christophe Carignano – Auto Infos
Lyon généralise la récupération de chaleur fatale de ses chaufferies
En installant des équipements permettant de capter la chaleur fatale des fumées des chaudières biomasse, la métropole de Lyon entend multiplier ses ressources pour augmenter le nombre de bénéficiaires du chauffage urbain en protégeant la qualité de l’air.
par r Françoise Sigot – Club Techni.Cités
Fin du thermique en 2035 : En rupture avec l’Allemagne, la France aligne sa position avec celle de l’Europe
À l’heure où la future interdiction de commercialisation des véhicules neufs thermiques à l’horizon 2035 au sein de l’Union européenne est remise en cause par les constructeurs automobiles mais aussi, et surtout, par les pays dont l’économie dépend fortement de l’industrie automobile, la France s’aligne à la décision européenne.
par Antonin Moriscot – Auto Infos
Rénovation énergétique : ce député qui veut décentraliser le pilotage de MaPrimeRénov’
Le député (Droite Républicaine) Sébastien Martin cherche à porter à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à décentraliser la rénovation énergétique, aujourd’hui administrée entièrement par l’Anah, au profit des départements et intercommunalités.
par Mathieu Michel – Le Moniteur