L’éco-conduite promue par Bridgestone comme pratique environnementale et économique
Publié le 04/10/2023 2 minutes de lecture
Parmi les leaders mondiaux du pneumatique, le spécialiste Bridgestone a mené une enquête en partenariat avec YouGov pour établir les connaissances des Français en matière d’éco-conduite. Ces derniers y sont majoritairement familiers, mais peut-être pas suffisamment.
Le pneumaticien profite de la publication d’une enquête sur l’éco-conduite pour rappeler les bons gestes au volant.
© Bridgestone
À l’heure où le thème environnemental fait tous les jours la Une des journaux, au même titre que la hausse des prix du carburant, l’éco-conduite apparait comme étant l’une des solutions pour réduire sa facture tout en limitant les émissions de gaz à effet de serre. Faire la course au feu rouge, titiller constamment la partie haute du régime moteur ou encore freiner brusquement à chaque ralentissement sont autant de comportements à bannir. La proportion de Français ayant conscience des bons gestes à adopter pour limiter sa facture d’essence est pourtant relativement faible. Dans une étude réalisée du 18 au 21 août derniers par YouGov sur 1 000 personnes représentatives de la population française âgées de 18 ans et plus qui conduisent une voiture, on apprend que seulement 67 % savent que réduire sa vitesse de 20km/h sur autoroute génère une baisse de la consommation de carburant.
Ce sont surtout les conducteurs occasionnels, parcourant moins de 1 000 kilomètres annuellement, qui semblent ignorer les principes de l’éco-conduite. 44 % d’entre eux reconnaissent ne pas vraiment connaître ces bonnes pratiques. L’enquête commandée par Bridgestone a pourtant de quoi rassurer le pneumaticien puisque quatre automobilistes français sur cinq savent qu’une vérification régulière de la pression des pneus permet de réduire sa consommation. Au total, 71 % des Français interrogés sont favorables à l’introduction qui a été faite de la notion d’éco-conduite dans la formation au permis de conduire depuis plusieurs années. L’éco-conduite permet ainsi d’obtenir un point lors de l’examen du permis de conduite, au même titre que la courtoisie au volant.
Démarrer à froid au lieu de laisser chauffer le moteur
Plus de la moitié (52%) des interrogés constatent l’impact positif environnemental de l’éco-conduite ainsi que les économies de coûts qu’elle engendre. Un tiers des personnes âgées d’entre 25 et 34 ans considère d’ailleurs l’aspect économique comme principal avantage. Preuve que le respect de l’environnement arrive forcément après la logique de pouvoir d’achat, d’autant plus lorsque les prix à la pompe ne cessent d’augmenter. À la fois utile pour la planète et pratique pour le portefeuille, ce style de conduite est en tout cas connu de 50 % des Français.