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Des « objectifs contraignants de verdissement des flottes » soutenus par 40 entreprises et organisations européennes

Publié le 18/12/2024      1 minute de lecture

Le pays comptait 4,2 millions de résidences principales classées F ou G au 1er janvier 2024, selon le service statistique du ministère du Logement. Il ne reste plus que 350 000 logements sociaux à traiter. La marche est presque deux fois plus haute dans le parc locatif privé.

façade de maison
© Pierre Faure / Fondation Abbé Pierre

Une passoire thermique qui souffre hiver comme été.

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Lentement mais sûrement, la part des passoires énergétiques dans le parc résidentiel décroît. D’après les données publiées le 17 décembre par le Service statistique des ministères chargés du logement, des transports, de l’énergie, de l’environnement, du climat et du développement durable (Sdes), le nombre de logements étiquetés F ou G, tous segments confondus (résidences principales et secondaires, et logements vacants), était estimé à 5,8 millions au 1er janvier 2024, soit 15,6 % du parc résidentiel. Un taux en baisse de 2,2 points par rapport au 1er janvier 2023.

Les bailleurs sociaux déclarés champions

Les données attestent par ailleurs une fois de plus de la meilleure performance du parc HLM, puisque la part de passoires énergétiques estimée dans le parc social reste « beaucoup plus faible que dans le parc privé (7,4%, soit 350 000 logements d’étiquettes F et G dans le parc social, contre 12,7%, soit 3,9 millions de logements pour le parc privé) », toujours selon le Sdes.

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